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NullE PaRt
NullE PaRt
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18 juin 2007

Qu'eux, les cons cernés, se reconnaissent. :)

fillette

Voila, encore un texte de plus. De trop. Encore un. Il est 20h05 en ce jour [lundi…combien..je sais plus, on s’en fout trop…] Encore un texte qui me rigolera au nez dans quelque heures quand ma colère sera passée. J’ai plus envie d’enduire de jolis mots, ma rage et ma peine. Je ne veux plus réfléchir. Je n’arrive plus à rattraper le temps qui file entre mes doigts. J’arrive plus à rester calme. J’ai perdu la notion des valeurs. Tant pis, je vis pour moi et tant mieux si personne n’est content. Mais y a ce bourdonnement de moteur de bécane qui envahit chaque pièce, même celles du haut. Et quand il passe la tête haute, le regard fier devant la baraque avec son pot, son gros lourdo de pot, avec son air de bêta et qui le suit à la trace...Tiens les revoilà, j’ai les poils qui s’hérissent. Ya cette musique faites de cris qui sort dont ne sait quelle fenêtre dans mon putain de pc. D’ailleurs ya ce putain de pc qui me soule à n’être qu’un putain de pc. Parce que là, je passe ma vie devant, et une vie c’est pas fait pour ça il me semble, c’est déjà assez ennuyant. Scotchée à l’écran. Pitoyable. (-Je m’ennuie- je ferme la parenthèse. ) Tac. Ya ce texte, sur l’écran. Non pas celui là. Pas celui qui se déferle à cet instant sous ma plume. Non un autre, qui date de plusieurs mois déjà. Qui parle de Lui. Encore plus Scotchée à l’écran. Pitoyable. Mais, Lui on s’en fout, merde ! Que dis-je [pour faire classe] ; On ? Nan… JE m’en fous. JE M’EN FOUS DE LUI. D’abord. Bah oui! Et Elle. Mais elle putain. J’ai dans ma tête son visage, Son joli visage de princesse, ses beaux yeux. Avec des fois, des rares fois, pas si rares en ce moment, cette flamme de malhonnêteté que tout le monde voit bouillir derrière sa pupille. Et qui l’a noie. Autant Elle que nous. Je la déteste quand elle n’est pas Elle. Encore pire quand elle devient plus Elle. Elle abuse, à nous détruire à petit feu. Elle le sait, c’est ce qu’elle redoute. Alors elle tourne le dos et se fais deux fois plus ennemie. Lâche. Comme je déteste. Je crois que tout le monde autour de moi –autour de nous pour ne pas me créer victime- est lâche. C’est grave. Comme cet imbécile qui se prend pour un poète. Pfff… Allez tous vous faire foutre avec vos papier cadeaux tous froissés remplie de merde, que l’on se surprend nous même à déguster. Un jour, j’irais vous voire, je planterai mes yeux au fond des vôtres. Vous tous. Pauvres abrutis. Et je vous ferais bouffer votre connerie dont vous vous habillez chaque jour. A croire que cette mascarade ridicule prend même un sens à nos yeux. Et si vous gerber à mes pieds. Je vous imiterai, je vous tournerai le dos.

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