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NullE PaRt
NullE PaRt
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18 octobre 2007

drôle d'ébauche [date de l'année dernière]

Une histoire d’amour
Peut tout faire foirer.

Tu le sais, Toi mon père, qui m’a laissé
Seule au milieu de cette triste fête
Le cœur bouillant, depuis trop longtemps
Est mort dans ma tête.
Tu le sais, Toi ma mère, qui m’a laissé
Qui me crache Sa douleur à la gueule
Cœur brouillé, sans pouvoir me regarder.
Dans la fête, je vais seule.
Tu le sais, Toi ma sœur, qui m’a laissé
Par la vie et l’amour,
Un beau jour
Fut emportée.
Tu le sais, Toi mon frère, qui m’a laissé
Pour ces bout en métal et ces produits bizarres
A bâtir la plus forte des remparts
Que je ne puisse y pénétrer.

Tu le sais, toi qui me doit de la thune
Toi qui aurait fait n’importe quoi
Qui pour moi aurait décroché la lune
Seulement, j’en dois plus que tu m’en dois.
Je suis ruinée, lamentablement
Je cherche l’or aux quatre vents
la tête en l’air
Et le nez dans la poussière.
Et je souris à tout va
parait que le bonheur se savoure
Et si il ne me croit pas
C’est moi qui lui ferait l‘amour
De sorte qu’il s’en souviendra
Je lui croquerai la bite
Je chanterai en claquant des doigts
Que je l’a trouvais un peu trop petite.

Oui, je ne comprends pas les gens
Avec leurs préjugés à la con, leurs idées tordues
qui ne savent se regarder en face
Que lorsque ça leur pette au cul.
J’essaie de modifier le monde dans ma tête
Et cette vie pourrie blindée d’exigence

Je crée ma propre fête
A dire ce que j’en pense, de l’existence.
Ma liberté, j’en suis pas si fière
Car je ne tiens à plus rien
Moi, Je n’ai pas peur de devenir dingue
Moi je n’ai pas peur, au moins.
Même si la météo nous fait la gueule
Et que je marche tout le temps dans les crottes
Je marche encore, je marche seule
Les pompes trouées et pleines de flotte.
Avec mes grandes poches vides
Pleine de merveilles et d’ambitions
De rêves, de sourires et d’évasion
Et d’éclat de rire au fond du bide.
Même si  mon pantalon
Pour moi est bien trop grand
Et que certaine mains innocentes
S’amuse à le baisser en ricanant.

Non j’aime pas le matin, dire bonjour
Ou aurevoir.
Encore moins faire la bise
Alors que demain on va se revoir.
Oui j’aime me marrer
Me foutre de moi.
J’en ai plus rien à foutre, tu vois.
Histoire de me remettre en place,
Histoire que je ne les oublie pas.
Oui j’ai regouté aux plaisirs obscurs
[dis-je d’une voix pseudo dramatique]
Volontairement cette fois,
Je me lève avec le nez qui pique.
Je fais de la merde
plus on me le dit, plus c’est marrant
Avec cette façon de parler,
genre dans la tête j’ai 40ans.
Et moi je plonge, morte de rire
Car il parait que je suis inconsciente
Si yen a plus, je suis triste.
Il m’arrive même pour rien,
de me croire en pleine descente.

Mais on est tous les même
Tous des pions qui se plaignent
Tous des pions qui se blindent

Tous des pions quand même.

Mais Casscrout s’inquiète plus pour moi
Que moi-même ai la place
Pour penser à tous ça.
Je me fous de tout à cause de Lui.
Lui. Que je rêverai de détester
Revers amer, Loup d’une nuit
Joueur avide et affamé
Lorsqu’il me regarde
Je déchire ma Vie
Je l’a fous à la poubelle
Quand je crame dans ses yeux
Les instants ou je suis belle.
Les instants.
Que j’attends.
Trop longtemps.
Maintenant.

Mais je souris à tout va
Parait que le bonheur se savoure
Et si il ne me croit pas
C’est moi qui lui ferait l‘amour
De sorte qu’il s’en souvienne
Je lui croquerai la bite
pour lui dire combien je l’aime
Car le temps passe trop vite.
100_0945

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Commentaires
M
bon anniversaire ma poulette. :-)
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