je ne sais plus qui je suis.
Rien à dire face l'oubli.
Il m'appelle et n'a rien à me dire. Stupide. Et moi alors je ne vaux pas mieux. Je le déteste, non je n'ai pas le droit de dire ça.
Pfff j’aimerai tellement trouver sur le bord de la route une palette de couleur comme ils ont les vieux peintres avec la gavroche de travers sur leur tignasse et repeindre ma vie comme je le désire. J’ai envie, « j’ai envie » il ya tant de chose que « j’ai envie » de faire en ce moment :Avoir plus de force, passez au delà des choses sans importances [même si on dit de moi que c’est ce que je fais…], tomber amoureuse ( attention, rêve inespéré comme un mot coincé au fond de la gorge qui vient pointer le bout de son nez avec timidité…), faire l’amour sans capote, savoir dessiner (et beaucoup mieux que ce qu’on en dit…), par la même occasion pouvoir dessiner enfin mon fantasme, le graver sur du papier pour prendre ma revanche sexuelle(..Oh moui...des hommes androgyne évoquant chacun un animal dans la salle de danse d’un château…ouep je sais pas d’où ça sort…),m’habiller comme la femme que je voudrais être dans quelque années pendant une journée…enfin bref que des souhaits à la con. Je laisse ce texte ici, sans fin, sans début non plus d’ailleurs, sans comment ni pourquoi. Je ne vous dois plus rien. Adieu.