Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
NullE PaRt
NullE PaRt
Publicité
Archives
12 décembre 2008

[ Elle ondule, se dévisse ]

clavier


Coincée au bord du monde, j'ai vu l'amour qui s'étalait sur un clavier. je me rapelle quand c'était lui que j'appelai dans le cri de la nuit. C'est à toi que je pense putin, rien qu'à toi. Je rêve de ton parfum et de tes mots qui me ferait flencher. j'admire ta stabilité et dans cette ombre invincible je m'amuse à chercher la faille. Je suis indécise et fragile devant toi, je voudrais que tu me guide, devance moi. J'ai la peau brûlante, et les larmes au yeux. Et toi tu n'es rien. Une image ou un vide. un rêve dans ma main. que je tiens contre ma poitrine pour pas que tu t'envoles. Mon amour platonique, temps mort de ma réalité glaçée. grise, dépassée. Le moindre de tes mots, je le consume jusqu'à sa mort, pour te goûter du bout des lèvres, t'effleurer, te deviner.

Publicité
Publicité
Commentaires
C
trop beau.. les larmes aux yeux ..
P
yo!!! quand il y a besoin d'eponger il faut deja commencer par aller chercher un seau... la suite tu la connais deja; smack floor for better flying again; [!alors courage!]
Publicité